
Mon cher capitaine,
Je rêve, un thé chaud à la main, à un aïeul hellène qui explorait le temps, le polissant en son laboratoire. Moi, le géologue ; toi, le mathématicien – jeune et beau comme on n’en fait plus –sentions la force du printemps. Je suis aujourd’hui en mon bureau étroit, sans parcs, ni jardins mais je pille toutes leurs couleurs, le cœur en fusion suivant l’instant présent, tel un chat les rais du soleil timide. Je crois en l’espace de soi au matin, en le tumulte du torrent des montagnes, en toutes les méditations et en tous les rêves – ensemble.
Je te laisse t’envelopper des douceurs qu’encadrent tes lourdes balustres et poétiser multicolore.
Ton cher voyou