Là-haut, au cabanon, chaque mouvement de pierre, chaque brin d’herbe vacillaient au rythme libre, grave, et dont le souffle par instant suspendu une dureté de la matière éternellement dure, s’éternisait à cet instant-là à son pas.
Lettre de Nicolas de Staël à René Char, 20 juillet 1953

Lectures chorales, écritures et collages, le 19 octobre, dans l’Hérault.
À lire sur le blog des Ateliers de Traverse 30